La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
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L’amour est un sentiment complexe. Tomber amoureux d’un parfum n’est pas si différent de tomber(…)
il y a 5 jours
Bonsoir Farnesiano. Tout d’abord, je trouve les parfums assez beaux, Hyde et Moon Bloom que(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Feuilleté hier soir le Magazine du Monde daté du 12 octobre dernier, dont les premières pages de droite sont dévolues aux annonces commerciales. Après Jaeger-LeCoultre puis Hermès, voici Noël avant l’heure : en pleine page 11, sur un fond incandescent, SERGE LUTENS, "La couche du diable" ! Et là ... Lucifer en personne a dû venir chatouiller notre esprit critique, car le potentiel comique de ce nom nous a fait nous gondoler un bon moment, mon conjoint et moi. Vraiment, réussir à vendre en bouteille les remugles d’un lange diabolique (ou d’un plumard infernal, au choix), à 120 euros les 50 ml qui plus est : du grand art !