La Couche du diable, les braises de l’enfer par Serge Lutens
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 10 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Feuilleté hier soir le Magazine du Monde daté du 12 octobre dernier, dont les premières pages de droite sont dévolues aux annonces commerciales. Après Jaeger-LeCoultre puis Hermès, voici Noël avant l’heure : en pleine page 11, sur un fond incandescent, SERGE LUTENS, "La couche du diable" ! Et là ... Lucifer en personne a dû venir chatouiller notre esprit critique, car le potentiel comique de ce nom nous a fait nous gondoler un bon moment, mon conjoint et moi. Vraiment, réussir à vendre en bouteille les remugles d’un lange diabolique (ou d’un plumard infernal, au choix), à 120 euros les 50 ml qui plus est : du grand art !