Quel parfum portez-vous ?
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Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
hier
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 5 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Vous le décrivez parfaitement, Iridescente. Je connais mieux la Bretagne que l’Ardèche, pour y avoir séjourné cinq ou six fois lors de merveilleuses vacances, des Côtes d’Armor au Finistère, de Perros au phare d’Eckmühl... en passant par les collines sauvages et certain plateau aride du centre, que l’Eau de Merzhin ne m’évoque pas vraiment. Dans celle-ci, je vois, j’entends, je sens simplement la campagne, la vraie, celle où paissent toutes sortes d’animaux dans des prés que bordent d’insondables et immenses forêts. La campagne de mon enfance, inondée de soleil, avec l’odeur de ses meules de foin l’été qui après une nuit pluvieuse embaument l’air et vous fait chavirer. Le végétal, l’animal, un paysage ancestral, ses sentiers immémoriaux, l’alternance des saisons, les caprices du climat, tout dans cette eau est tour à tour déconcertant et confondant de vérité. De la poésie pure, brute.