Effluves influentes
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Mes chers Duolog et Nez Inexpert, je suis bien aise que vous ayez pris l’initiative de l’orthodoxie grammaticale, même si je compte faire preuve d’une bonne dose d’hypocrisie en faisant remarquer que l’usage hésite depuis au moins une paire de siècle : le si méticuleux Gustave Flaubert a lui aussi commis la faute en question (« effluves amoureuses », franchement, n’était peut-être pas sa meilleure phrase non plus.) et, paraît-il, Victor Hugo soi-même...
Je m’en fiche. Effluvium a beau être neutre, il dérive de fluxus, un mot résolument masculin, « flux » en français, et il peut se traduire par « écoulement », qui n’est pas féminin non plus. Je proteste donc énergiquement contre le barbarisme, itou.
Je n’ai jamais senti Déclaration d’un soir mais ses notes m’ont tout l’air de sortir d’un de mes fantasmes parfumés. En revanche, je plussoie l’enthousiasme général au sujet de Perles. Vous savez qu’il m’a toujours paru être un miroir de Voleur de Roses ? Une rose au patchouli très fraîche où les mousses amènent une verte légèreté à l’ensemble, quand le second est un patchouli à la rose où le mélange humifère chauffe en compostant. Je ne me passerais ni de l’un, ni de l’autre.
(Moi non plus, ma Quête de Parfum ne sera jamais publiée... Trop brouillonne, sûrement. Et puis, pour quelqu’un d’autre... Ce n’est pas bien grave, mais je regrette de ne pas pouvoir lire davantage de ces Quêtes, même celles des autres, surtout celles des autres, d’ailleurs. Ce sont de jolis portraits chinois.)