Qui est propre, qui est sale ?
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Un accord vibrant de thé noir infusé d’épices, dessinant un contraste entre fraîcheur piquante et douceur enveloppante.
il y a 3 jours
Bonjour, je vais commencer par dire un grandissime merci à cette page qui vient de m’apporter(…)
il y a 4 jours
Winter’s Spring est une reprise en plus floral et moins éphémère de Summerbykenzo, mon parfum(…)
il y a 6 jours
Bonjour à tous, Je rejoins le point de vue de jle - qui remonte déjà à plus de 14 ans ! Osmanthe(…)
Jeu d’Hombre
Amande complète
Suave qui peut
Haha. Il me revient cette blague du film "Les valeurs de la famille Addams".
Lors d’un diner au restau, Morticia parle à Debbie, la nounou sexy. Elle vante Fétide comme ayant étudié en Europe. Debbie s’enthousiasme "la première fois que je l’ai vu, j’ai tout de suite pensé qu’il venait d’Europe". Et Fétide répond, offusqué : "pourtant j’avais pris un bain !".
En fait, dans tous les dessins animés et les films américains, on transforme les personnages français déplaisants en italiens à la traduction. Pépé le putois EST français. Le chef dans "La petite sirène" est français (je crois). La liste des exemples est très longues.
Je ne sais pas d’où ce cliché leur vient, ni ce qui l’entretient. Pourquoi associer les "continentals" à des gens à peine sorti du moyen-âge ? Serait-ce un sentiment anti-français chopé aux anglais, issu des guerres napoléonienne (Napoléon utilisait beaucoup de cologne) ? Ou un truc récent, qui vient du courant hygiéniste. Les français ne se laverait pas parce qu’ils sont plus individualistes, existentialistes, ils résistent à la pression sociale et on leur envie presque ce culot ? Par exemple les américains se plaisent à raconter que les femmes françaises ne s’épilent pas (ni les aisselles ni les jambes).
Inversement, il y a eu la vague du succès de librairie "pourquoi les françaises ne grossissent pas". On est l’objet de fantasmes. L’herbe est toujours plus verte dans le pré d’à côté. En fait l’écrivaine n’avait connu que les beaux quartiers parisiens, où la grossophobie est plus marquée. Il n’y a pas de quoi être fier de ça, et le livre de Gabrielle Deydier les a beaucoup rassuré sur ce point.