À la recherche de la cerise perdue : Lost Cherry de Tom Ford
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Volutes et voluptés
Ce titre me dérange, ça vaut bien La Couche du Diable, tiens. J’ai une dent contre Tom Ford et je refuse de croire que cette « cerise » n’est pas une fine allusion à l’expression imagée to pop her cherry, qui signifie (faire) perdre sa virginité, en parlant d’une femme – la cerise éclatée (to pop, c’est percer un ballon) figurant la couleur rouge... Bref.
Je ne connais pas beaucoup de parfums à la cerise, hors La Petite Robe noire (crissante, pour moi, mignonne cinq minutes et puis j’ai mal au crâne), les Lutens Louve et Rahät Loukoum, le flanker d’Aromatics Elixir discontinué Black Cherry (trop lourd) et, pour finir, le défunt Bendelirious d’État Libre d’Orange, que je regrette. Ah, et Délices de Cartier, à ce qu’il paraît, mais je bloque et n’arrive pas à sentir la cerise dedans. Croyez-le ou non, il me sert de base à Maroussia en hiver.