Goutal nous repoudre le nez avec Étoile d’une nuit
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 6 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il n’est pas impossible que ce soit l’influence de la toute dernière critique en date sur le site mais ce parfum m’a plutôt fait penser à une des Infusions de Prada qu’à ces parfums-là. Il faut dire que ma référence cosmétique à moi, c’est Incarnata d’Anatole Lebreton, un opulent rouge à lèvres d’autrefois écrasé sur une paire de gants parfumés...
Or, l’opulence, ce n’est pas ce qui caractérise ce parfum, ni les dernières créations de la maison « Goutal Paris », puisque Annick est bien morte et enterrée désormais. Je ne sais ce que nos entrepreneurs pleins d’allant cherchent à faire avec leur Goutal 2.0 mais j’aimerais bien qu’ils se décident.