Iris Silver Mist
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 2 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il s’agit d’une étude malaisienne qui consiste à fourrer des électrodes dans le nez des courageux volontaires : une impulsion électrique venant stimuler les nerfs olfactifs d’une manière paraît-il semblable à celle de composants chimiques. Tout le monde n’a pas supporté, mais certains participants ont rapporté des sensations fleuries, boisées, etc.
Ce n’est pas la première fois que des chercheurs explorent cette piste de la restitution des odeurs par appareil connecté, mais c’est bien la première fois qu’on se propose de se passer de molécules odorantes pour ce faire !
Bon, je crois qu’il nous reste du chemin à faire en la matière, parce qu’en imaginant un orgue à parfums connecté, il faudrait se fournir en recharges, y compris des senteurs dont les formules sont brevetées... Pfff. Il nous faudrait des olfathèques accessibles au public. Avec un vrai conservateur dedans, du genre qui n’ait jamais été vendeur chez [insérer nom commercial d’une chaîne de magasins vendant des parfums de grandes marques].