Rochas se laisse (re)pousser la Moustache
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Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
il y a 4 jours
Pardon, il s’agit d’un flacon de 50 ml et non de 75 ml.
il y a 4 jours
Je l’ai acheté sur un coup de tête (ou plutôt de nez !) et en 75 ml. Je ne sais pas ce qui m’a(…)
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
À fond la gomme
Avez-vous humé la Souris verte de Molinard, par hasard ? Son positionnement commercial est juvénile et ce n’est pas démenti par la verdeur d’une eau piquante et malicieuse, mais il s’agit d’un parfum plus mûr qu’il n’y paraît... Une verveine très agrume, l’ardeur végétale des feuilles de tomate, arrondies et assombries par des aromates et des bois assez frais, quelques fleurs printanières, et puis un fond doux et léger qui assagit la composition : mon tout me rappelle bien la verveine citronnelle que je fais pousser tout l’été et dont je parfume l’eau*.
*Je crois que je suis une mauvaise perfumista, je raffole des végétaux quasi-légumiers bien mouillés, dans mes jus. L’insoutenable légèreté de l’Eau de Lierre de Diptyque est l’une des grandes tragédies de mon existence.