1957, le quart d’heure américain de Gabrielle Chanel
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Et si tout commençait après l'école ? Éléments de réponse avec le parfumeur Jean-Christophe Hérault (IFF) et son apprenti Alexzander Aboyade-Cole.
il y a 2 jours
Bonsoir à tous, je profite du commentaire de Farnesiano - que je remercie au passage de remettre(…)
il y a 3 jours
Sur ma peau triomphe une tubéreuse animalisée, vaguement poudrée de mimosa mais surtout(…)
il y a 4 jours
Une belle surprise que cette eau verte, très végétale, délicatement fleurie, dont la tonicité(…)
Eau archangélique
Sel de bois
Accord intercontinental
Grande déception, je m’attendais à un parfum fourrure qui représente ce qu’est la 57ème Rue à New York, le parfum d’une new-yorkaise extravagante et fortunée de l’Upper East Side qui passe ses weekends dans les Hamptons ou les Berkshires. Rien de tel, 1957 n’est rien d’autre que la version Chanel de Fleurs de Citronnier de Serge Lutens. Si le Lutens est plus épais et chaud, le Chanel est plus transparent et froid, mais la ressemblance est troublante, on frôle la copie.