Acqua di Scandola de Parfum d’empire : la mer, autrement
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ma peau n’est pas en carton. C’est une évidence qui sonne plutôt comme une bonne nouvelle à l’âge que j’ai, mais qui a failli me faire passer à côté d’une très belle découverte.
Sur mouillette, il m’évoquait assez le plateau d’huitres, surtout leurs algues, un peu citronnées par les rondelles d’agrumes incontournables de ce genre de fantaisie alimentaire.
Mais je ne pouvais pas passer à-côté d’un test sur peau. Même si les parfums flairant fièrement la calone m’avaient détourné de la famille marine depuis belle lurette, on était chez Parfums d’Empire, quand même.
Et d’un coup, l’été est revenu !
C’est frais, c’est clair, c’est limpide. Ca sent les embruns et la dolce vita. Rien d’agressif ni de synthétique. Une odeur d’algues fascinante à force de naturel supporte un accord aérien et floral qui m’a subjugué.
Encore une fois Marc-Antoine Corticchiato nous emporte dans son réalisme poétique.