Acqua di Scandola de Parfum d’empire : la mer, autrement
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
hier
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Ma peau n’est pas en carton. C’est une évidence qui sonne plutôt comme une bonne nouvelle à l’âge que j’ai, mais qui a failli me faire passer à côté d’une très belle découverte.
Sur mouillette, il m’évoquait assez le plateau d’huitres, surtout leurs algues, un peu citronnées par les rondelles d’agrumes incontournables de ce genre de fantaisie alimentaire.
Mais je ne pouvais pas passer à-côté d’un test sur peau. Même si les parfums flairant fièrement la calone m’avaient détourné de la famille marine depuis belle lurette, on était chez Parfums d’Empire, quand même.
Et d’un coup, l’été est revenu !
C’est frais, c’est clair, c’est limpide. Ca sent les embruns et la dolce vita. Rien d’agressif ni de synthétique. Une odeur d’algues fascinante à force de naturel supporte un accord aérien et floral qui m’a subjugué.
Encore une fois Marc-Antoine Corticchiato nous emporte dans son réalisme poétique.