Bois d’Arménie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Amoureux d’orientaux, ce délicieux parfum de peau m’a transporté dès le premier essai.
Comment rester insensible à l’attaque piquante du poivre rose et à la froideur presque anisée et réglisse de l’iris. L’encens déjà nous entoure et j’ai l’impression que le caractère métallique de l’ouverture n’a pour objet que d’introduire ce benjoin immense.
Pas du tout d’accord avec Guet Apens, il n’y aucun miel... La douceur et le moelleux du benjoin s’allie avec ce qui pourrait être une gousse de vanille, presque rugueuse. Ce Bois d’Arménie ne se répand pas. Il est au contraire très sec.
Je suis parfaitement d’accord avec vous Jeanne sur le caractère presque mystique de ce qui pourrait être un onguent moyen orientale.
Je suis un homme, et porte avec fierté ce magnifique parfum. Pour la pisse de chat si chère à Guet Apens, je porte aussi Musks Khoublai Khan. Je conseille à GA la lecture intéressante de la critique de JICKY. L’impression de pisse de chat est-elle nécessairement repoussante ?