Lolita Lempicka au Masculin
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ma première impression, lorsqu’une copine m’a aspergé les poignets de force avec un testeur séphora "pour voir comment il t’irait !" (j’éprouvais des réticence à le tester de 1) à cause de la couleur violette, de 2) à cause du nom qui est tout sauf viril) a été de m’étonner de constater à quel point ça sent le pastis dans les notes de tête.
J’imaginais très mal un homme se balader avec ça sur la peau sans avoir l’air ridicule, ou du moins pas très sérieux ni présentable (vous imaginez, sentir le pastis à un entretient d’embauche...)
Et dix minutes plus tard, j’ai ressentis mon poignet et j’ai voulu me mettre des baffes.
Ce truc là, c’est une tuerie...C’est vraiment bluffant d’originalité, sucré sans trop l’être, opulent mais pas envahissant pour autant...Et avec une espèce de côté addictif face auquel on est impuissant...
En bref, c’est l’anti 1 million, quoi.