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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
La première fois que je l’ai sentis, l’année dernière, j’ai faillis le prendre puisque, d’une manière ou d’une autre, il faut bien le reconnaitre, il se démarque de la masse. C’est rare autant d’opulence dans un parfum masculin, et puis la note fruitée...En fait il est assez féminin, il a quelque chose de particulier.
Puis, quelques jours plus tard, je l’ai sentis sur un gars qui m’insupporte, au lycée et dès lors, je n’ai pu sentir que les mauvais côtés de ce parfum : sucré, beaucoup trop sucré, et surtout immensément trop opulent, du genre à vouloir crier à la terre entière "vous avez sentis, j’ai mis du parfum ?".
Et la suite, on la connait tous, on ne peut plus faire deux pas dans la rue sans sentir des effluves de pamplemousse synthétique mentholé...
J’ose espérer qu’à la fac, il y aura moins d’adeptes —’