Encre Noire
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Mise à jour sur Encre noire à l’extrême (j’ai depuis mon précédent post acheté et porté le parfum) :
il s’agit en fait d’un parfum que je qualifierais d’ "expérimental", qui ne plaira pas à tout le monde, mais fait passer un message de "moderne, original et ultra-sophistiqué". Mais, clairement il déplaira à plus d’un. Mais il fascinera d’autres (dont je fais partie car je l’adore)
j’aurais du mentionner le bois de santal qui est en fait beaucoup plus présent que l’encens oliban.
les notes de fonds ne sont pas son point fort. Elles peuvent être décrites comme un reste de Santal un peu rance noyé dans des volutes opaques de fumée et de matière synthétique. Je perçois parfois un effet de saturation olfactive assez décevant, typiquement moderne.
techniquement, je me hasarde à cette hypothèse : ce parfum serait basé sur un surdosage massif d’Iso E Super, dont le but aurait été de faire remonter cette note de fonds (copeaux de crayon) en note de coeur ultra-boisée (associée à un Vétiver goudronneux et scintillant, et du Santal). Ce surdosage expliquerait la la note de fonds synthétique et le sensation de saturation en fin d’évolution : avec le temps, la grande proportion d’Iso E Super rend la composition déséquilibrée, et celui-ci noie tout le reste dans un effet synthétique.