Où va la parfumerie (3/4)
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
On se comprend mal : je comprends bien que les matières utilisées en parfumerie sont souvent les même et je nai pas critiquer cela. Je voulais souligner que les variations finalement assez semblables entre jasmins, roses, vétivers, bergamote et iris démontrent une créativité assez cadrée. Des exceptions sortent cependant, Sel de vétiver en est une par exemple. Mais, alors que je pense cela, j’admire le parti prix qualité des créations Le Labo : la qualité des matières premières est vraiment remarquable. Les soliflores sont actuels et d’une finesse extra-ordinaire, et cette parfumerie explore aussi des territoirs olfactifs nouveaux et de qualité. Vu sous cet angle, comme pour la coupe et la qualité du tissus d’un vêtement, le prix peut se justifier, beaucoup plus que les Private Blend de Tom Ford par exemple. En revanche, je rejoins Aline et Valcour, Serge Lutens et l’Artisan restent plus créatifs et plus osés. ELO, c’est de la caricature (exactement : mettre des moustaches à la Joconde). Indult, une insulte !