Florentina
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
hier
Bonjour laprincesseaupetitpoids, bonjour à tous, nous avons très probablement le même : un grand(…)
il y a 2 jours
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Cher Cédric,
Oui, Héliotrope Blanc est poudré, mais c’est un poudré qui a du poil aux pattes. Classieux sans être BCBG, hédoniste mais pas régressif, suave mais pas gourmand (du moins au sens où on l’entend désormais, accablés que nous sommes par le règne hégémonique de l’éthyl-maltol).
Non, ce n’est pas un parfum de peau. Il a tendance, au contraire, à se faire remarquer. Sa tendresse est démonstrative, coruscante, obsédante. Héliotrope Blanc s’accroche à vos vêtements, vous poursuit jour et nuit et finit par faire partie de vous. On est aux antipodes de l’esthétique de la transparence chère à Jean-Claude Ellena ou, puisque c’est de cela dont nous sommes censés deviser, des afféteries de la collection Muscs.
À quoi ça sert qu’OPomone il se décarcasse ?
Si vous cliquez sur le lien que j’ai pris soin d’associer au beau nom d’Héliotrope Blanc, vous accéderez, sous la plume de Thomas Dominguès, à une description éclairée et éclairante de ce vénérable ancêtre, ainsi qu’à une cinquantaine de commentaires.
Pour répondre à votre double question, j’ajouterais simplement que :