Kenzo World
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 3 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
il y a 18 heures
On se sent un peu seule ce 14 février ?
hier
Bonjour, Pas évident de trouver un équivalent. Personnellement, je tenterais le layering et je(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
C’est assez drôle, je le reconnais, car dans ma folle jeunesse, j’étais farouchement opposé à l’idée même de nationalisation. Mais quand il s’agit de patrimoine, j’en viens à la conclusion que l’intérêt général l’emporte sur les intérêts - et donc les égoïsmes - particuliers. Il y a bien des musées nationaux, des orchestres publics, des opéras publics, une Comédie française (établissement public)... Si un gouvernement entendait privatiser ces institutions, pour aller dans le "sens de l’histoire", il se heurterait - espérons-le - à une forte opposition populaire, parce qu’il s’agit d’art, et plus précisément du patrimoine, bien commun de la société. Si l’on soutient que le parfum est un art, que les grands parfums français constituent une part de notre patrimoine artistique, il paraît difficile d’abandonner ce domaine au marché, dont les ambitions sont naturellement autres que culturelles. Loin de moi l’idée de supprimer le secteur privé de la parfumerie : si des personnes, désireuses de faire des affaires, souhaitent créer de nouvelles enseignes et lancer incessamment d’interchangeables produits, libre à elles.
Cette nationalisation de quatre ou cinq maisons, ou du secteur parfumerie de celles-ci, aurait aussi valeur d’avertissement pour d’autres, dont la politique est plus ambivalente.