L’Envol
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour lookoverother,
votre description de la tension jus commercial/expérimental est très juste ! C’est révélateur des prises de risques toujours bridées par le marketing on imagine.
Cependant j’ai du mal avec ce qui semble être une volonté diffuse d’accuser Cartier de racolage cheap, car cela fléchit les perceptions avec lesquelles chacun aborde ce jus. La qualité du flacon est un exemple parlant.
Techniquement le flacon est bien en verre, pas en plastique bon marché, il semble même que la fabrication de ce verre à la grande souplesse pour éviter la casse ait été un casse tête ! Je suis le premier à trouver que le toucher de ce flacon fasse plastique, mais je n’en déduis pas pour autant que Cartier a voulu faire dans la radinerie avec le flacon, car en vérité c’est l’inverse !
Au final je me sens obligé de préciser que je n’ai aucune action chez Cartier, j’ai acheté mon flacon comme tout à chacun avec une réduc Galerie Lafayette.
Ce jus ne va pas révolutionner la parfumerie, soyons clairs, seulement il est né d’un intention sincère de Cartier de faire un jus consensuel et un flacon innovant (qui fait vendre ne nous le cachons pas) ! Mais comme pour beaucoup l’attente n’a pas été comblé par le jus, l’objet... la critique dévie sur un dénigrement qui est injuste.
Le jugment du public est touours à interprété avec une infinie précaution, mais la mission semble d’ailleurs être remplie car il se vend plutôt bien, aux femmes aussi également.
ENfin, comme Dr Jicky, Alexis, le rappelle fréquemment, concentrons nous sur l’olfactif ! Efforçons nous de focaliser sur ce que notre nez sent, sans laisser les interférences des a priori, des préjugés, nous perturber. Est-ce que ce parfum me parle, oui, je creuse / non je creuse aussi : pourquoi ? et puis on passe à autre chose, ce n’est qu’un parmi d’autres, notre nez nous emmènera ailleurs, vers un jus qui nous parle plus, autrement... ce n’est pas grave de ne pas adhérer à mon jugement ou à un autre, faites avec VOTRE odorat.