Jean-Louis Scherrer
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour MayAdl3r,
Veuillez tout d’abord accepter mes excuses pour cette réponse tardive ( les aléas de la vie...) Habitant la Belgique, je ne pourrais vous dire ce qu’il en est de la distribution des Scherrer en France. Chez nous, la marque est bien distribuée, même mieux qu’il y a deux ou trois ans. Témoin la maintenance des formats 50 ml et la présentation d’un coffret du Sherrer classique avec lait pour le corps à Noël l’an dernier dans la plupart des parfumeries commerciales ( genre Séphora ; en Belgique on évoquera Ici-Paris-Xl, Planet Parfum et Galleria Inno). Et je revois le 2 partout. L’arrivée sur le marché du joli One Love aurait donc relancé la marque ? Je ne le crois pas, ce 4e opus me semblant trop confidentiel. Par contre Nuits (indiennes) semble avoir totalement disparu des rayons. Quant à Immense sorti il y a presque 15 ans, je ne me rappelle pas l’avoir jamais senti... Pour ma part, le Scherrer 1 figurerait sans aucun doute dans mon classement des 20 parfums dont la disparition me laisserait orphelin. Il y a quelques années, j’avais rencontré dans un train un homme noir, corpulent, sans prétention et habillé sans style particulier, qui portait le Scherrer 1. C’était divin ! Et c’est vraiment à partir de ce moment-là que j’ai pris conscience de la merveilleuse androgynie de ce grand classique.