Flower by Kenzo Essentielle
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Aaaaaah les lois de l’industrie... J’ai rapidement aimé Flower lorsqu’il est sorti, j’étais encore au collège à cette époque. Aujourd’hui, je l’aime toujours mais j’avais renoncé à le porter à cause de son succès qui vous foudroyait dans la rue, au cinéma, en cours, dans les files d’attentes, dans les magasins, au restaurant...
Il m’est arrivée d’être assez dure avec Kenzo qui me fatiguait à sortir des flankers à tour de bras, mais j’ai purement et simplement adoré Essentielle. Plus abouti, plus émouvant, plus vrai. C’est certes, terriblement bien joué, et ça va sûrement rapporter beaucoup d’argent (car c’est fait pour), mais c’est difficile de cracher dans la soupe devant un si joli résultat...