Tout d’abord, je m’excuse pour les fautes d’écriture que vous allez probablement trouver sur ce commentaire. Le francais n’est pas ma langue maternelle et il y a toujours des coquilles qui m’échappent. Je vous suis silencieusement depuis des mois et je voudrais partager avec vous la relation particulière que j’ai avec ce parfum, en version EdP. Je l’ai essayé trois fois, en parfumerie. Sur la mouillette, je ne sais jamais si je l’aime ou si je ne l’aime pas, mais je ne sais pas dire pourquoi (je suis encore novice dans ce domaine et je n’ai pas encore le vocabulaire si précis que vous en avez). Comme je suis toujours perplexe, je décide de l’essayer sur ma peau, toujours comparé à un autre parfum (L’Eau de Cartier la première fois, Chanel 19 Poudré la deuxième et Baisers Volés la troisième). Ma première impression sur la peau est très proche de celle de la mouillette, je ne sais pas si je l’aime ou pas. Mais, deux heures après environ, il change pour me faire sentir dans un beau cocon, tout en beauté, discret, mais très présent. Quatre heures après, l’odeur qui se dégage est merveilleux, crémeux, rassurant, mais à peu près une heure après cette odeur disparaît sans laisser aucune trace, comme s’il n’avait jamais éxisté. Et, c’est là que je tombe en amour !! Je m’ennuie de cette odeur qui vient de partir et de ce moment magique de la journée qui n’a duré qu’une petite heure !! C’est peut être à cause de cette fugacité, que les deux premiers fois que je l’ai essayé, j’ai décidé d’acheter l’autre parfum auquel je le comparait (L’Eau de Cartier et Chanel 19 Poudré que j’utilise en été et en hiver, respectivement). Mais je commence à me demander si cela ne vaut pas la peine d’avoir accès de temps en temps à cette petite heure de bonheur qui me donne Iris en EdP...