Poison Girl, fille indésirable
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci NewYorker pour votre message que je viens de voir ! Effectivement, remettre en avant Diorissimo ne semble pas dans les priorités de Dior. Ceci dit je ne comprends pas la logique économique de la "fuite en avant" pratiquée par cette maison où chaque lancement dégrade un peu plus l’estime des connaisseurs. Pourquoi ne pas miser sur le côté patrimoine historique comme le fait actuellement Guerlain avec Shalimar ?
Ils pourraient faire une campagne rétro-vintage avec les illustrations de René Gruau et des femmes en robes Dior ( il me semble que les robes de Raf Simmons s’inspiraient fortement du New Look) et un slogan du genre "l’élégance est indémodable". Avec un lancement en mai pour communiquer sur "le plus beau muguet de tous les temps". Bien sûr les esprits malins de Dior en profiteraient pour lancer tout un tas de Flankers mais si c’est le prix à payer pour voir renaître Diorissimo...
Je m’emballe et cette idée ne sera probablement jamais exploitée. J’aimerai juste comprendre pourquoi ce raisonnement n’a pas d’intérêt pour les marketeux de Dior.
En attendant, je vais me pencher sur cet extrait de Diorissimo, Merci NewYorker pour le tuyau !