Poison Girl, fille indésirable
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Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
il y a 2 jours
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 6 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Merci NewYorker pour votre message que je viens de voir ! Effectivement, remettre en avant Diorissimo ne semble pas dans les priorités de Dior. Ceci dit je ne comprends pas la logique économique de la "fuite en avant" pratiquée par cette maison où chaque lancement dégrade un peu plus l’estime des connaisseurs. Pourquoi ne pas miser sur le côté patrimoine historique comme le fait actuellement Guerlain avec Shalimar ?
Ils pourraient faire une campagne rétro-vintage avec les illustrations de René Gruau et des femmes en robes Dior ( il me semble que les robes de Raf Simmons s’inspiraient fortement du New Look) et un slogan du genre "l’élégance est indémodable". Avec un lancement en mai pour communiquer sur "le plus beau muguet de tous les temps". Bien sûr les esprits malins de Dior en profiteraient pour lancer tout un tas de Flankers mais si c’est le prix à payer pour voir renaître Diorissimo...
Je m’emballe et cette idée ne sera probablement jamais exploitée. J’aimerai juste comprendre pourquoi ce raisonnement n’a pas d’intérêt pour les marketeux de Dior.
En attendant, je vais me pencher sur cet extrait de Diorissimo, Merci NewYorker pour le tuyau !