Dzongkha
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 14 heures
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
hier
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
hier
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonjour à tous !
Je vous lis depuis maintenant plusieurs mois et c’est un véritable plaisir, je parle à la fois des articles et des commentaires, vous me donnez envie de tout sentir !
Mon premier commentaire sera pour un parfum qui n’a pas de critique ici, mais j’ai choisi la page d’un parfum de la même marque, créé par le même parfumeur.
J’ai découvert l’artisan parfumeur il y a quelques mois, en achetant un lot de 4 miniatures : parmi ceux-ci, Timbuktu est celui qui, sans être mon préféré, m’intrigue le plus. Pure néophyte dans le domaine des parfums, j’essaie actuellement de reconnaître des notes. Et Timbuktu me donne du fil à retordre, dans la mesure où je me demande quelle est cette note que je perçois qui me donne cette impression « aqueuse », rafraîchissante, reposante (qui a tendance à aérer l’ensemble) ?
Mon vocabulaire est loin d’être opérationnel, mais j’ai fait des progrès depuis que je vous lis : avant j’étais persuadée que les parfums dits « poudrés » étaient ceux qui me donnaient envie d’éternuer :)