Dzongkha
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 5 minutes
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
il y a 15 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonjour à tous !
Je vous lis depuis maintenant plusieurs mois et c’est un véritable plaisir, je parle à la fois des articles et des commentaires, vous me donnez envie de tout sentir !
Mon premier commentaire sera pour un parfum qui n’a pas de critique ici, mais j’ai choisi la page d’un parfum de la même marque, créé par le même parfumeur.
J’ai découvert l’artisan parfumeur il y a quelques mois, en achetant un lot de 4 miniatures : parmi ceux-ci, Timbuktu est celui qui, sans être mon préféré, m’intrigue le plus. Pure néophyte dans le domaine des parfums, j’essaie actuellement de reconnaître des notes. Et Timbuktu me donne du fil à retordre, dans la mesure où je me demande quelle est cette note que je perçois qui me donne cette impression « aqueuse », rafraîchissante, reposante (qui a tendance à aérer l’ensemble) ?
Mon vocabulaire est loin d’être opérationnel, mais j’ai fait des progrès depuis que je vous lis : avant j’étais persuadée que les parfums dits « poudrés » étaient ceux qui me donnaient envie d’éternuer :)