Serge Lutens agrandit la Section d’or
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Certes, le nom n’est pas très joli (bien qu’il me fasse penser au renard en tube d’un certain manga qui, lui, était mignon), mais j’ai eu le coup de foudre pour ce Renard constrictor. Pour moi qui viens de céder à Après l’ondée, il apparaît comme une version profonde de ce type de parfum (surtout après avoir humé une mouillette imbibée de la re-pesée de Thierry Wasser et Frédéric Sacone). Et j’aime son évolution vers un jasmin (que pourtant je n’aime pas) que certains disent indolés.
Après trois jours sur mouillette, il me semble toujours aussi moelleux avec cette vague évocation de Fahrenheit, mon premier amour.
Sidi Bel-Abbes m’a aussi charmé pendant 48 heures sur mouillette. Actuellement, sa vanille très Pi de Givenchy m’en détourne radicalement.
C’étaient mes deux coups de coeurs pour les créations de la section d’or.
Et l’argument tranchant dans ce désir de faire sienne de si jolies fragrances, c’est le prix. Les Lutens que je vénère peuvent s’acquérir pour bien moins cher tout en arborant bien plus de personnalité qu’une resucée de Guerlain et le machouillage de quelques eaux de parfum maison.
Dans la mesure où j’ai testé tous les parfums de la Section d’or, je dirais que, pour moi, c’est une grosse déception.