Giorgio
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 2 jours
Oui, le site Guerlain m’a répondu la même chose. Vol de nuit n’y est plus vendu mais on peut(…)
il y a 4 jours
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Giorgio, un parfum pour lequel j’avais eu un coup de coeur très jeune, trop jeune pour le porter. Je m’y suis autorisée plus tard mais toujours à petite dose, son sillage étant effectivement conséquent. Pour autant, m’étant entre temps accoutumée aux parfums puissants, je le sens moins. J’ai d’ailleurs du mal à percevoir la tubéreuse : je le trouve avant tout orangé, ce qui m’amène à lui trouver une filiation avec le N°5 de Chanel (dans lequel la note orangée de départ par contre m’incommode). Giorgio n’évoque pas chez moi la même image que celle de Jeanne : je le trouve orangé donc solaire, impression renforcée par le fond vanillé qui évoque les vacances. Il aurait aussi bien pu s’appeler Dolce Vita. Il dégage donc à mon sens plus une impression de langueur que de force de caractère. C’est un parfum qui reste original, lumineux effectivement, et très réconfortant par temps gris.