Sauvage
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Coucou, Jicky,
ce qu’on souhaite dire par écrit est toujours plus difficile que par oral et, à mon sens, tout est à toujours, toujours nuancer. Je plussoie entièrement à ce que tu dis. je ne porte/porterai jamais Bleu, mais pour un masculin mainstream, il fait ce qu’on lui demande (c’est loin d’être un chef d’oeuvre, mais il a ce qu’il faut comme sent-bon pour faire tomber les meufs (et les mecs aussi)), alors que Sauvage est juste ridicule, en terme de projection notamment. A ce niveau là on en parle plus vraiment de création artistique je pense.
En revanche, le côté Homme Idéal vient pour moi de ce petit côté que j’identifie "cerise", mais qu’on ne l’est absolument pas, et qui doit juste être un gros bois ambré de derrière les fagots (des éprouvettes des chimistes). Mais là encore, Sauvage est très commun tout autant que Bleu (et à mes yeux, l’Homme Idéal aussi que je n’apprécie pas vraiment même si la signature que souhaite Wasser pour les hommes Guerlain est là et évoque une réelle identité)