Fleur des Fleurs
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Un accord vibrant de thé noir infusé d’épices, dessinant un contraste entre fraîcheur piquante et douceur enveloppante.
il y a 2 jours
Bonjour, je vais commencer par dire un grandissime merci à cette page qui vient de m’apporter(…)
il y a 4 jours
Winter’s Spring est une reprise en plus floral et moins éphémère de Summerbykenzo, mon parfum(…)
il y a 6 jours
Bonjour à tous, Je rejoins le point de vue de jle - qui remonte déjà à plus de 14 ans ! Osmanthe(…)
Jeu d’Hombre
Amande complète
Suave qui peut
Tout d’abord un grand merci à Auparfum pour l’envoi de l’échantillon de Fleur des Fleurs. Voici mes premières impressions.
A mon nez, Fleur des Fleurs est un parfum à mi-chemin entre l’ambre solaire et certains jus emblématiques des années 70 et 80.
Avec ses notes solaires, sa haute concentration en salycilate de benzyle, son bouquet de fleurs blanches aux pétales que l’on imagine charnues et une certaine moiteur/verdeur tropicale, Fleur des Fleurs m’évoque immanquablement l’été, les plages de sable fin, la peau bronzée et salée et la crème solaire (plus précisément une lotion après-solaire Yves Rocher désormais discontinuée) En ce sens, Fleur des fleurs se présente comme une invitation au voyage en des contrées exotiques mais pas seulement...
A ma grande surprise, Fleur des Fleurs m’a également fait voyager dans le temps. Me voilà dans les années 80. A l’époque où je portais Chloé de K.Lagerfeld, tel qu’il existait en 1975 (rien à voir avec le parfum éponyme d’aujourd’hui). Si Fleur des Fleurs m’évoque tant Chloé, c’est, sans doute, parce que ces deux parfums partagent ces mêmes accords floraux opulents de tubéreuse, d’ylang-ylang suave et de jasmin. Toutefois la comparaison s’arrête là. Autant Chloé était aldéhydé et poudré, autant Fleur des Fleurs me paraît crémeux, gras et beaucoup plus vert ( en raison peut-être d’éléments constitutifs d’un accord jacinthe ?).
A présent, le souvenir d’une amie du lycée s’impose à moi. Sandrine devait alors avoir près de 30 ans de moins. Elle portait Poison, un parfum qui lui ressemblait : exubérant, grande gueule et néanmoins chaleureux, aussi discret qu’un boa en plumes d’autruche. Heureux souvenir d’une époque où Desirless n’arrêtait pas de chanter "Voyage. Voyage".