Qu’importe le flacon... pourvu qu’on ait la richesse !
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 15 heures
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 15 heures
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 15 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
J’ai aussi directement pensé à Coca-Cola en lisant cet article. D’ailleurs j’ai vu que Nutella s’y mettait aussi. Des biens de consommation de masse... qui jouent la carte de l’individualisation. Ironique.
Comme dit dans la conclusion : plutôt que de personnaliser à tour de bras des flacons de LVEB, ne ferait-on pas mieux de sortir des parfums moins standardisés et consensuels pour se distinguer vraiment des autres ? Et si la personnalisation devient la mode, le standard... est-ce toujours de la personnalisation ?
L’autre chose que je ne comprends pas bien, c’est qui est la cible de ces méthodes marketing : des clients aisés qui recherchent l’exclusivité à tout prix ? Ou bien clients modestes en recherche de luxe dérisoire à petit prix ?
La fourchette de prix ne laisse aucun indice sur la réponse tant les marques se positionnent différemment. Du coup, une riche cliente a-t-elle intérêt à investir autant dans un "luxe" que pourra s’offrir la moindre nénette dans un Séphora pour une somme dérisoire ?
Une petite citation de La Vie de Brian des Monty Python au passage :
Brian : - Vous êtes tous des individus uniques !
La foule : - Nous sommes tous des individus uniques !
Brian : - Vous êtes tous différents !
La foule : - Nous sommes tous différents !
Un homme dans la foule : - Pas moi.