Marlowe
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À quelques jours de Noël, nous avons dressé une liste (non exhaustive) des publicités de parfums qui ont croisé notre regard dans la rue. Voici une appréciation - évidemment très personnelle - de ce qui vaut vraiment le coup de nez.
hier
Voilà : c’est le moment de ressortir cette jolie gourmandise raffinée ! Une merveille de(…)
hier
des merveilles remplacée
Nombre d’or de l’iris
Songe d’une nuit des thés
Désert brûlant
Pauvre Marlowe.Il méritait tellement mieux que cette fragrance qui échoue totalement dans son idée de lui rendre hommage et de rappeler les fastes de la période élizabéthaine.
Je suis méfiant par rapport à la tubéreuse, mais là, je n’ai pas eu à approfondir cette note tant elle est indistincte et banale et ressemble plutôt à une fleur blanche totalement artificielle.Le développement se dirige plutôt vers une senteur fruitée poudrée m’évoquant une senteur oscillant entre l’abricot et l’orange, fruits qui seraient tombés sur des feuilles séchées depuis un moment et dont la décomposition aurait commencée donnant l’impression poussiéreuse évoquée dans votre post, chère Jeanne.Le final est une simple note de musc blanc savonneux.
Au total, plutôt un parfum qui rappellerait le linge passé à la lessive dans une blanchisserie.Mais n’est-ce pas normal puisque Jardins d’Ecrivains (qui a pourtant fait des jus plus intéressants) appartient à Procter et Gamble ??? ;-)