Marlowe
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Guillaume Frémondière, ingénieur agronome et Juliette Karagueuzoglou, parfumeuse chez IFF, lèvent le voile sur cette fleur emblématique.
il y a 2 jours
Bien incapable d’en donner une description détaillée, je trouve simplement que c’est un bel(…)
il y a 3 jours
Bonjour, Apparition sur le site Caron des extraits de Bellodgia, Farnesiana , Or Et Noir et(…)
il y a 6 jours
Chère Adina, en même temps ne vous faîtes pas d’illusions, la note noisette de Vetiver Santal est(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Pauvre Marlowe.Il méritait tellement mieux que cette fragrance qui échoue totalement dans son idée de lui rendre hommage et de rappeler les fastes de la période élizabéthaine.
Je suis méfiant par rapport à la tubéreuse, mais là, je n’ai pas eu à approfondir cette note tant elle est indistincte et banale et ressemble plutôt à une fleur blanche totalement artificielle.Le développement se dirige plutôt vers une senteur fruitée poudrée m’évoquant une senteur oscillant entre l’abricot et l’orange, fruits qui seraient tombés sur des feuilles séchées depuis un moment et dont la décomposition aurait commencée donnant l’impression poussiéreuse évoquée dans votre post, chère Jeanne.Le final est une simple note de musc blanc savonneux.
Au total, plutôt un parfum qui rappellerait le linge passé à la lessive dans une blanchisserie.Mais n’est-ce pas normal puisque Jardins d’Ecrivains (qui a pourtant fait des jus plus intéressants) appartient à Procter et Gamble ??? ;-)