Idée reçue n°3 : la qualité d’un parfum varie suivant les peaux
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
A ce propos, j’ai vécu une expérience troublante il y a peu. Restaurant, le soir. Un ami nous présente sa nouvelle conquête. Je vous brosse en trois traits le portrait de la lady. Femme et certainement pas fille, élancée, féline, une chevelure châtain foncé ruisselante de boucles, elle portait un perfecto en cuir. Je l’ai tout de suite rangée dans la catégorie féminité assumée sans vulgarité. Elle sentait bon. Cela m’intriguait. Je lui demande donc quel est son parfum.... la vie est belle, me répond-elle.... T-T mais comment était-ce possible ? Je reconnais ce parfum tous les jours dès que je croise son odeur offensante de sucre artificiel. Comment avais-je pu le trouver agréable sur cette dame ?
Bien entendu, je suis mille fois d’accord avec l’article. Cependant, j’avoue parfois être confrontée à de mystérieux résultats (ici, peut-être l’odeur du cuir, des cheveux, peut-être des autres cosmétiques, sans doute aussi l’odeur naturelle de la personne qui imprègne toutes ses affaires).