Quel parfum portez-vous ?
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Solance,
Les états d’âme que j’ai vis-à-vis de la tubéreuse se retrouvent dans mes impressions sur Carnal Flower et Tubéreuse criminelle (rien d’étonnant n’st-ce-pas ? ;*) ).
Si je considère bien que les 2 sont de très belles pièces avec cette note et de remarquables créations, mes préférences vont nettement à la composition de Frédéric Malle.
Carnal flower a pour moi une beauté euphorisante dans un merveilleux accord de départ tubéreuse/eucalyptus pour devenir ensuite un bel équilibre floral entre le côté un peu hypnotique de cette tubéreuse et la fraicheur du jasmin, enrichi ensuite par des notes plus exotiques, le tout débouchant sur une fragrance riche, luxuriante et durable.
Tubéreuse criminelle a, certes des atouts, mais, sur moi, le côté camphré perdure et amplifie les points négatifs de la tubéreuse par des notes qui, à certains moments deviennent presque salées et qui, à d’autres, font ressortir de manière exagérée une blancheur (que l’on peut trouver belle) mais qui devient bien trop intoxicante à mon goût.
Je ferai une comparaison entre ces 2 fragrances et les musiques de Verdi et de Wagner : ces dernières peuvent donner lieu à des chefs d’oeuvre et, dans ce cas, elles sont appréciables.Mais, lorsqu’on sort de certains opéras de Wagner après 2 h 1/2 de cuivre qui vous ont lessivé, on se dit, malgré le côté épique de chaque composition, que Verdi est un moment d’oxygène.