Tubéreuse Criminelle
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Doblis.
J’aime beaucoup vos développements à propos de Tubéreuse Criminelle et ce qu’elle vous évoque, les images et représentations qui lui sont liées pour vous.
Fait étonnant, ou peut-être pas car très logique finalement, je l’associe aussi, non au morceau de Jay-Jay Johanson que, pourtant, j’adore (et qui est logique tant le "poison" se déverse de manière insidieuse, j’ai l’impression de voir un amant de cette "Criminelle" passer de vie à trépas après l’acte), mais au Cri de Munch. Je crois que j’en ai rêvé. Nous sommes donc deux à avoir réalisé la même association. ;-)
Sur moi et quelques autres, je vous assure, l’aspect camphré médicinal peut disparaître : cela en satisfait certain(e)s et pas d’autres. Moi, en bon casse-pieds, je suis à la fois content de l’assagissement qui devient d’une belle pulsation lumineuse très jaune, mais triste qu’elle se fasse tant en sourdine et rasante ensuite après ses débuts tonitruants. ^^
Encore merci beaucoup à vous.
Opium
PS : Pour Beyond Love/Prohibited, c’est tout à fait ça. Le "naturel" (donc, les artifices racoleurs) revient au galop après des débuts plus "naturalistes". ;-)