Les femmes ont plus de nez (c’est la science qui le dit)
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 20 heures
Hello, Le premier qui me vient, c’est Fragile de JPG, en eau de parfum, la silhouette dans une(…)
hier
Hier, en retrouvant mon beau flacon de Power créé par Olivier Polge en 2008, j’ai repensé à la(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
John Ioannidis, professeur de l’Université de Stanford, a démontré à plusieurs reprises que nombre d’études (pseudo-)scientifiques s’appuyaient sur des bases statistiques douteuses, rendant nulle la valeur des résultats obtenus.
Ici, le protocole semble douteux (un échantillon de 18 individus, si j’ai bien compris) et il n’est pas possible d’en tirer un quelconque constat statistique universel. De plus, l’étude précise-t-elle l’état de santé pré-prélèvement ? Si les hommes avaient sniffé de la coke et/ou du poppers tous les 2 jours durant la majeure partie de leur existence, et si au contraire les bulbes féminins provenaient de nonnes encore vierges ayant vécu toute leur vie en pleine nature en buvant de l’eau de source et en mangeant des radis, les "cellules olfactives du bulbe" à l’aube de la mort ne sont sans doute pas dans le même état.
Au delà, ce n’est sans doute pas la quantité de cellules olfactives qui prévaut, mais peut-être d’autres phénomènes encore inconnus (interactions entre le cerveau et les cellules, habitus socioculturels, etc.). Il en va de même pour les cerveaux : à taille comparable, les résultats cognitifs et intellectuels sont souvent très variables d’un individu à l’autre. Maintenant, si les femmes ont effectivement un "bulbe plus riche en cellules olfactives", tant mieux ou tant pis pour elles, on ne sait pas trop...