Les femmes ont plus de nez (c’est la science qui le dit)
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 13 heures
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
hier
Bonjour à vous, Je reviens sur cet article, 13 ans après mon message où je faisais part de ma(…)
il y a 2 jours
J’ai une place tout au chaud dans mon cœur pour Œillet Bengale. C’est le parfum qui m’a fait(…)
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Avouez qu’on aimerait croire en cette hypothèse. Que les choix olfactifs des gens soient simplement guidés par des préoccupations bassement physiologiques, mais que dans le fond ils n’en pensent pas moins. Mais je crains que le problème soit plus grave et plus complexe. Et c’est malheureusement valable pour les femmes comme pour les hommes.
N’empêche cette histoire de bulbe olfactif me travaille. Est-ce qu’en la matière, comme dans d’autres domaines, la taille importe vraiment ?
Plus sérieusement, on sait que la taille du cerveau n’a absolument aucune corrélation avec le niveau d’intelligence. Alors j’imagine qu’il en est de même avec ce bulbe olfactif, non ?