Mandarine Mandarin
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 15 heures
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 3 jours
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 3 jours
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
C’est amusant Opium car, une fois n’est pas coutume, ce ne sont pas du tout les memes images, ambiances et ressentis qui me sont venus à l’esprit quand j’ai humé Mandarine, Mandarin aux SPR au printemps dernier.
Mon nez était (et reste encore) novice mais je n’ai pas percu de thé, encore moins une ambiance grise, pluvieuse proche de la période de Noel, et pas une once de sucre. Ce parfum m’a bien plu, mais je l’ai percu comme une promenade dans un patio andalou aux beaux jours, quand les orangers en pot ou en terre distillent leur subtil mais puissant parfum entre verdeur des feuilles lisses et sombres et amertume de leurs écorces et fruits...
Une legere pointe confite et liquoreuse, oui mais pour moi, toujours en plein soleil ! Comme Irisfleur, je percois Mandarine Mandarin comme un parfum assez capiteux, pas discret et j’ajouterais que je le trouve racé, rapeux et tres méditerranéen, pas du tout dans la meme veine que 5 O’ Clock qui travaille sur le meme theme mais pas du tout dans le meme type de traitement (ce dernier est plus léger, subtilement épicé et lui m’évoque bien un tea time).