Un premier parfum mystérieux, envoûtant, poétique
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 11 heures
Merci J ai pu sentir les 2 lors de mon séjour à Madrid, je prefere aussi le Prada mais je n ai(…)
il y a 5 jours
Bonjour à vous ; sans chercher la polémique concernant le flaconnage et la communication, j’ai(…)
il y a 5 jours
C’est L’Eau de Néroli parce que, apparemment, je ne peux pas en avoir trop de néroli dans ma vie.(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Bonjour,
pourquoi pas l’eau scandaleuse de Breton ? Fleuri cuiré poussiéreux, complexe et correspondant au brief initial : mystérieux, envoutant, poétique ? Check !
Mais matchant davantage avec votre demande dans sa globalité (avec Bleu et l’Homme idéal, donc avec une certaine idée de frais), je dirais plutôt L’Orpheline de Lutens, dont vous pouvez avoir un vrai aperçu dans l’article de FlairFlair, que je vous propose ci-après (je ne sais pas si je peux mettre une citation si longue, mais je tente, c’est tellement bien vu...) :
"C’est une fragrance sourde, complexe, qui gagne vraiment à être testée sur la peau. Car L’Orpheline, en une belle métaphore, semble avoir besoin de ce contact, de cette chaleur humaine, pour s’exprimer pleinement et révéler toutes les facettes de sa personnalité. L’ouverture est lumineuse : une grande bouffée résineuse d’encens et de muscs (avec une pointe de menthe ?), mêlée d’une lavande elle-même un peu sèche et poussiéreuse, comme celle qu’on met en sachets dans les placards. Le tout évoque l’odeur archétypale des papas : compositions type fougères, effluves rassurantes d’aftershave. En cœur, un intriguant mélange de bois et d’encens enrobe des notes d’œillet légèrement poivré. C’est délicieusement enveloppant, à la fois mystique (l’encens, les églises, Dieu, tout ça) et charnel (les muscs, l’odeur de la peau) ; ni vraiment froid ni franchement chaud, juste suspendu dans un équilibre magique. Christopher Sheldrake, parfumeur de Serge Lutens et collaborateur de l’ombre de Jacques Polge chez Chanel, a décidément un talent fou. L’encens, bien vertical, reste présent dans les notes de fond, un peu fumées, résineuses, délicatement coumarinées. Sur moi, L’Orpheline laisse un sillage réconfortant et vaporeux ; subtil et pourtant tenace : pas loin de 8h. Je l’ai adopté(e)."
A essayer absolument sur peau, sur touche c’est très minéral et froid, sur tissu c’est patchouli mais non terreux (patch x encens surement ?), alors que sur peau c’est très enveloppant (réconfortant était vraiment bien choisi par Sarah dans son article).
Bonnes recherche !