Un premier parfum mystérieux, envoûtant, poétique
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Un coin de verdure où chante une lumière... Une création très émouvante, composée par la discrète mais talentueuse parfumeuse indépendante Christèle Jacquemin.
il y a 2 heures
Ces fameux boisés ambrés tant décriés aujourd’hui ont pourtant connu de bien belles heures au cours(…)
hier
Bonjour à tous, Voilà quelques jours que je me délecte de ce Miss Dior, flacon vintage sur(…)
Volutes cultes
Grand huit
Des airs de famille
Bonjour,
pourquoi pas l’eau scandaleuse de Breton ? Fleuri cuiré poussiéreux, complexe et correspondant au brief initial : mystérieux, envoutant, poétique ? Check !
Mais matchant davantage avec votre demande dans sa globalité (avec Bleu et l’Homme idéal, donc avec une certaine idée de frais), je dirais plutôt L’Orpheline de Lutens, dont vous pouvez avoir un vrai aperçu dans l’article de FlairFlair, que je vous propose ci-après (je ne sais pas si je peux mettre une citation si longue, mais je tente, c’est tellement bien vu...) :
"C’est une fragrance sourde, complexe, qui gagne vraiment à être testée sur la peau. Car L’Orpheline, en une belle métaphore, semble avoir besoin de ce contact, de cette chaleur humaine, pour s’exprimer pleinement et révéler toutes les facettes de sa personnalité. L’ouverture est lumineuse : une grande bouffée résineuse d’encens et de muscs (avec une pointe de menthe ?), mêlée d’une lavande elle-même un peu sèche et poussiéreuse, comme celle qu’on met en sachets dans les placards. Le tout évoque l’odeur archétypale des papas : compositions type fougères, effluves rassurantes d’aftershave. En cœur, un intriguant mélange de bois et d’encens enrobe des notes d’œillet légèrement poivré. C’est délicieusement enveloppant, à la fois mystique (l’encens, les églises, Dieu, tout ça) et charnel (les muscs, l’odeur de la peau) ; ni vraiment froid ni franchement chaud, juste suspendu dans un équilibre magique. Christopher Sheldrake, parfumeur de Serge Lutens et collaborateur de l’ombre de Jacques Polge chez Chanel, a décidément un talent fou. L’encens, bien vertical, reste présent dans les notes de fond, un peu fumées, résineuses, délicatement coumarinées. Sur moi, L’Orpheline laisse un sillage réconfortant et vaporeux ; subtil et pourtant tenace : pas loin de 8h. Je l’ai adopté(e)."
A essayer absolument sur peau, sur touche c’est très minéral et froid, sur tissu c’est patchouli mais non terreux (patch x encens surement ?), alors que sur peau c’est très enveloppant (réconfortant était vraiment bien choisi par Sarah dans son article).
Bonnes recherche !