Knot
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai mis du temps à me faire un avis sur ce Knot...en effet, le premier sniff fut une déception : entre les opus précédents de la marque qui avaient mis la barre très haut et le nom de Daniela Andrier dont j’apprécie beaucoup le travail, mes attentes étaient grandes.
Au premier abord donc, j’ai trouvé la chose bien inoffensive. Pas désagréable, mais pas renversant non plus...une fleur d’oranger bien agencée entre une tête incisive et un fond certes propre mais dont l’aspect vintage lui évite l’écueil du baril de lessive.
C’est en tout cas très bien réalisé et pas complètement vu et revu dans le registre féminin, ce qui finalement me conduit à apprécier la démarche.
Le tout n’a pas la distinction de sa sœur aînée chyprée, mais reste qualitatif et relativement signé. Mon reproche principal serait simplement que je trouve le copier/coller de l’accord savon de barbier déjà utilisé dans Amber et Infusion d’homme un petit peu grossier...