Equivalenza, la parfumerie low-cost débarque en France
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 16 heures
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
il y a 16 heures
Bonjour Gost7 sam, et merci beaucoup pour le conseil, je ne connais pas les parfums de la(…)
il y a 17 heures
Bonjour Giovanna, Bottega Veneta semble en effet discontinué. Vous pourriez aimer "Esquive" de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Le truc qui me fait dire que le concept ne marchera pas vraiment c’est qu’au final, le consommateur de base se tape les ovaires avec des cymbales de ce que sent le parfum. C’est même d’ailleurs là tout notre problème en tant que passionné. Si le grand public s’intéressait à ce que sent son parfum, alors oui ce serait intéressant puisqu’il serait capable de dire "je suis capable d’avoir un parfum aux qualités olfactives équivalentes à moindre coup". Or, le grand public achète pour la pub, la marque, le marketing etc. etc. Je n’invente rien là. Les gens s’en foutent que Dior Addict EDT sente exactement la même chose que leur après-shampoing. Ils kiffent juste le fait de porter un Dior.
Le parfum est le produit d’appel pour le luxe et pour le grand public, acheter un parfum n’est pas vraiment acheter une odeur, mais simplement acheter "une part de rêve" (*échappe un haut le cœur*). Du coup, un parfum à 15€ inconnu, aussi mignon soit-i,l ça ne correspond pas à ce qu’une grande partie du public attend d’un parfum. Hélas.