Après l’iris, Prada infuse la fleur d’oranger
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Un accord vibrant de thé noir infusé d’épices, dessinant un contraste entre fraîcheur piquante et douceur enveloppante.
il y a 14 heures
Bonjour, je vais commencer par dire un grandissime merci à cette page qui vient de m’apporter(…)
il y a 2 jours
Winter’s Spring est une reprise en plus floral et moins éphémère de Summerbykenzo, mon parfum(…)
il y a 3 jours
Bonjour à tous, Je rejoins le point de vue de jle - qui remonte déjà à plus de 14 ans ! Osmanthe(…)
Amande complète
Suave qui peut
Fleur de bonne humeur
Mettre la fleur d’oranger au coeur d’un parfum est plus périlleux qu’il n’y paraît : entre cologne pour bambin, arôme alimentaire et effets capiteux lourdingues, les écueils sont nombreux. Daniela Andrieux navigue entre ces écueils en dosant subtilement les aldhéhydes savonneux, qui désamorcent le bambin et l’alimentaire, et apportent un aspect "femme-femme" un peu rétro.
La note de fond (peut-être atteinte un peu rapidement ?) évoquent vraiment une savonnette néroli-jasmin toute droit sortie d’une salle de bain bourgeoise de la Belle Epoque.
Interressant, voire même un peu déconcertant !