Les Rives de la Beauté : l’événement parfum incontournable de la rentrée parisienne
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
On ne risquait pas de se voir, Solance : nous (Aaricia, Poupoune et moi) avions fait le choix d’aller à l’osmothèque dès l’ouverture pour tenter d’éviter la foule...
Je suis d’ailleurs arrivé le 1er de tous les participants (à 8h55, par une heureuse combinaison de métros et de trains que j’ai eus sans attendre), et même avant certains intervenants (nous avons vu arriver Maurice Roucel vers 9h30).
Du coup, nous avons pu faire les 5 ateliers proposés (la belle époque, les années folles, l’après guerre, les seventies et la niche) sans trop attendre, parfois en compagnie d’autres Auparfumés (coucou, Jicky et Newyorker), mais n’aies pas de regrets si tu n’as pas pu voir la cave : nous avons démarré la journée par ça et la présentation était assurée par Jean Kerléo, toujours aussi adorable et disponible, mais il n’y avait rien à sentir (c’était juste une explication de la classification des flacons dans les grands frigos et de la manière dont les marques collaborent à l’enrichissement de l’osmothèque en envoyant ou pas leurs parfums).
Et l’air de rien, il a été 15h sans que nous ayons vu le temps passer : à peine le temps d’aller manger une crêpe puisqu’il fallait ensuite retourner à Paris pour l’évènement vintage.
Alors, ce fameux évènement vintage, comment c’était ? Posons la question à Potra qui a assisté à la séance de 16h puis est restée pour celle de 18h : il faut croire qu’elle a aimé ! ;-p
C’était très bien : accueil royal par Domik (encore merci !), conférence à deux voix par Newyorker et Opium qui se complètent très naturellement, c’était très fluide et très clair (encore bravo à eux d’avoir fait deux sessions à la suite !!), Patrice avec son appareil photo en bandoulière, en paparazzi discret qui mitraillait sans relâche et Jicky en invité mystère, et c’était pour moi une opportunité assez unique de sentir des parfums vintage, parfois de les comparer à leur version actuelle, de pouvoir réagir (on était une petite dizaine de participants) et d’avoir les explications techniques et historiques des maîtres de cérémonie (et ç’a également été l’occasion de faire la connaissance de Poule Mouillette ;-)
J’ose espérer qu’il y en aura d’autres ! Encore merci à toute l’équipe (je n’ai pas souvent, pour ne pas dire "jamais", l’occasion de sentir des versions disparues des parfums) pour cet évènement qui clôturait admirablement les rives de la beauté (dont le créateur, Wouter Wiels, a d’ailleurs assisté aux deux séances).