Portrait of a Lady
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 semaine
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 1 semaine
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
La rose dans Portrait n’est aucunement citronnée en effet, je suis d’accord. Mais elle ne me semble pas pour autant verte et piquante : celle d’Une Rose est nettement plus végétale au contraire, avec ses épines et ses racines. La Rose dans Portrait, ciselée et transcendée par quelques "fruits rouges" qui en prolongent les contours, me semble une réplique presque surréaliste de la rose anglaise, la bonne vieille rose-presque-pivoine puissamment odorante des jardins, hélas remplacée par des spécimens plus "jolis" mais moins odorants.
Je suis d’accord avec vous sur l’aspect à la fois baroque et gothique du parfum. Pour ma part, je ne peux le porter que lorsque les températures sont inférieures à 17°/18° ; dans le cas contraire, la rose tend à s’évaporer trop vite sur ma peau et le parfum prend une dimension moins intéressante.