Déclaration d’un Soir
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
il y a 2 jours
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il y a 3 jours
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Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Bonsoir,
Je viens d’acquérir Déclaration d’un Soir sur un coup de tête, après un essai sur poignet droit (le gauche étant réservé à Déclaration de 1998).
Sa typologie ne correspond en rien à l’idée que je me fais de mon parfum alter ego (adéquation chimie/personnalité), mais sa puissance vénérienne m’a tout simplement fasciné. Il est très facile de procéder par associations d’images avec un tel cru, et son sillage m’évoque les pièces de boucherie d’un Francis Bacon devenu débiteur de viande aspergée à l’eau de rose ; écœurant et orgiaque me viennent immédiatement à l’esprit.
Ce parfum pue une forme de luxure gourmande, excessive à la lisière du rejet, mais on en redemande et c’est ce qui est gênant. Votre texte qui m’a finalement conduit vers l’inavouable, traduit à la perfection cette sensation ambivalente.