Déclaration d’un Soir
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il y a 23 heures
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il y a 2 jours
Bonsoir, Je ne sais pas si vous habitez Paris mais il en reste un peu au Printemps Beauté, au(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Bonsoir,
Je viens d’acquérir Déclaration d’un Soir sur un coup de tête, après un essai sur poignet droit (le gauche étant réservé à Déclaration de 1998).
Sa typologie ne correspond en rien à l’idée que je me fais de mon parfum alter ego (adéquation chimie/personnalité), mais sa puissance vénérienne m’a tout simplement fasciné. Il est très facile de procéder par associations d’images avec un tel cru, et son sillage m’évoque les pièces de boucherie d’un Francis Bacon devenu débiteur de viande aspergée à l’eau de rose ; écœurant et orgiaque me viennent immédiatement à l’esprit.
Ce parfum pue une forme de luxure gourmande, excessive à la lisière du rejet, mais on en redemande et c’est ce qui est gênant. Votre texte qui m’a finalement conduit vers l’inavouable, traduit à la perfection cette sensation ambivalente.