24, Faubourg
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
hier
Voilà un parfum qui ne sent pas du tout le parfum, c’est plutôt une odeur en bouteille, très(…)
il y a 3 jours
Bonsoir Il est encore disponible chez My Origines. Entre autres sites, mais je connais(…)
il y a 3 jours
Bonsoir, hélas non, je n’ai pas l’occasion d’aller à Paris, j’ai regardé sur le site du Printemps(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Bonjour tout le monde,
Je l’attendais avec impatience cette critique, et je remercie Newyorker pour son article et, s’il en est, ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre à sa rédaction.
J’ai lu tout doucement, mot à mot, pour faire durer le plaisir, comme si ces lignes allaient enfin me donner la clé de l’admiration que j’ai pour ce parfum. Je l’adore, je pense qu’il est malheureusement desservi par ce qu’il évoque et dont parle très justement Newyorker : bcbg, collier de perles etc...faisant oublier sa caractéristique essentielle à mon sens : l’élégance, celle que l’on porte de l’intérieur. Je le sens pourtant heureusement, parfois ( pas souvent ) sur des personnes non bcbg identifiables. C’est vrai aussi, il se distingue entre mille, d’une douceur extrême mais avec cette présence si forte et si personnelle qu’il éclipse tout ce qui est près de lui. Il irradie véritablement. Ce n’est pourtant en aucune façon un parfum étouffant ou envahissant, non, tout en subtilité et raffinement.
J’ajoute que je préfère la version edt.
Longue vie à 24 Faubourg !
Ps : titre de l’article super bien trouvé ! :)