24, Faubourg
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 6 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 6 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 1 semaine
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Bonjour tout le monde,
Je l’attendais avec impatience cette critique, et je remercie Newyorker pour son article et, s’il en est, ceux qui ont participé d’une manière ou d’une autre à sa rédaction.
J’ai lu tout doucement, mot à mot, pour faire durer le plaisir, comme si ces lignes allaient enfin me donner la clé de l’admiration que j’ai pour ce parfum. Je l’adore, je pense qu’il est malheureusement desservi par ce qu’il évoque et dont parle très justement Newyorker : bcbg, collier de perles etc...faisant oublier sa caractéristique essentielle à mon sens : l’élégance, celle que l’on porte de l’intérieur. Je le sens pourtant heureusement, parfois ( pas souvent ) sur des personnes non bcbg identifiables. C’est vrai aussi, il se distingue entre mille, d’une douceur extrême mais avec cette présence si forte et si personnelle qu’il éclipse tout ce qui est près de lui. Il irradie véritablement. Ce n’est pourtant en aucune façon un parfum étouffant ou envahissant, non, tout en subtilité et raffinement.
J’ajoute que je préfère la version edt.
Longue vie à 24 Faubourg !
Ps : titre de l’article super bien trouvé ! :)