La Panthère
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
La rencontre a été fugace mais forte ! Ce samedi chez Cartier, j’ai essayé de faire abstraction de la boutique pleine, d’oublier le monde autour de moi et de fermer les yeux pour me rendre disponible à cette première fois. En termes de sensations, je retiens la montée très nette d’une note de couleur, celle d’un rose irisé et chypré, presque doucereux... C’est pour moi un rose très velouté, de ce même aspect duveteux que peut avoir un velours matifié par le temps. Ce parfum m’évoque l’élégance feutrée des vieux boudoirs, les longues heures de contemplation, le son d’un piano ancien. Il me chante cette chanson à la fois vieillotte et contemporaine d’il y a quelques années : « je ne veux pas travailler, je ne veux pas travailler, je veux seulement oublier... et puis je fume ! » La partition se joue sur un mode langoureux,le son est mat, la mélodie claire. La panthère n’est pas agressive, elle me semble plutôt lascive, douce, repue. Elle m’a mise en appétit, j’y retourne bientôt !