Une Terre très Fraîche et un Jour Absolu chez Hermès
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 17 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 17 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 17 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Découverte cet après-midi, Terre Eau très fraîche porte magnifiquement son nom : on oscille entre une Terre débordant de merveilleux agrumes gorgés de soleil, certains bien mûrs, d’autres encore un peu vert, et une Eau d’une fraîcheur pétillante et d’une limpidité qui fascine. Tenue un peu courte, diront certains, mais assez normale pour ce type de parfum. Un excellent Ellena, vraiment, et un réel bonheur que tout le monde ici semble partager. (J’adore quand de tels parfums font l’unanimité : on a le sentiment d’appartenir à une vraie communauté : sensible, subtile et ultra sympathique !)
En même temps, sur l’autre poignet, je sentais Fahrenheit Le Parfum. Assez brutal, gras au départ et même un peu poisseux, mais avec de jolies couleurs sombres un peu racolleuses (pourpre, marron, violet, vert billard et un trait ocre), le parfum s’adoucit trop vite à mon goût mais gagne en chaleur et en rondeur. Tout comme pour L’Eau Sauvage, la version Parfum se démarque assez fort de l’original, moins florale, plus liquoreuse et vanillée, comme si son créateur avait voulu tirer la fragrance vers un cuir vaguement lutésien ou tomfordien. A découvrir de toute façon. La vendeuse me dit que Fahrenheit Absolute est discontinué. Le Parfum est-il sensé le remplacer ? Quel jeu chez Dior ! Et quelle moquerie vis à vis du client, qu’on aime ou qu’on aime pas la dite création.