Vétiver
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Ma grand-mère me l’a offert quand je suis entré en quatrième. J’ai gardé longtemps la bouteille vide, une bouteille de section ovale avec un horrible capuchon en plastique vert et une sorte d’écusson imprimé, comme une relique. J’ai été fier de porter ce parfum "de grand" parce que jusqu’à ce moment là le parfum se limitait pour moi à l’Eau de Cologne Impériale ou du Coq frictionnée après le bain, pour parachever l’hygiène. Je l’ai racheté quelquefois, et j’en ai toujours un fond quelque part. Franchement, les reformulations ne m’ont pas tellement choqué sur ce coup. Juste je n’ai plus envie de le porter, sans doute parce qu’il y a pas mal de propositions de vetyver vraiment excitantes, un peu moins sages ou plus modernes, comme Sycomore (my all time fav !), Sel de Vetyver et Encre Noire, pour ne citer que ceux-là. 4* pour le milestone qu’il représente, pour sa beauté indiscutable, même s’il a un peu vieilli.
(Le côté bourgeois qu’y voit notre chère Jeanne siège précisément dans le côté "heirloom", héritage, objet de famille, de cette Edt, avec toute l’histoire et le léger parfum d’ennui, parce que toujours-déjà connu, qui s’en dégage)