Vétiver
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Merci, Jeanne, pour ce réveil de l’un de mes premiers coups de coeur parfumés. Mais le Vétiver de Guerlain me semble avoir diablement changé depuis de nombreuses années : il s’est trop rafraîchi, allégé et même légèrement mentholisé. L’ayant tant aimé autrefois, je ne le reconnais plus. Son évolution, sur peau en tout cas, me paraît sans réel caractère. Où donc est passée sa chaleur si lumineuse, un peu grasse même, si souriante et tellement réconfortante quoique demeurant altière ? Je ne l’ai plus senti depuis un an, déçu par sa Xième reformulation. Mes anciens flacons, au jus plus doré, gardent la fragrance originale intacte, magnifiquement facettée. Cette dispersion de la sensation, ce tournoiement pailleté de notes, je l’avais retrouvé dans Allure Homme aujourd’hui peut-être trop senti. Fan de cette matière depuis mon plus jeune âge, grâce à Guerlain, Carven et Givenchy, je conseillerais à l’éventuel acquisiteur de vétivers bien d’autres parfums, à commencer par Encre Noire de Lalique. Reste que le Guerlain se place au-dessus de la mêlée des boisés actuels, dits élégants. En Guerlain mainstream pour homme, l’Eau boisée Homme me convainc davatange. Et Habit Rouge bien entendu ! N’oublions pas Terre d’Hermès et les deux Déclaration de chez Cartier qui, auprès de nouvelles générations, semblent avoir pris le relais.