Le parfum comme oeuvre de l’esprit ? Pas pour 2014 !
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 13 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 13 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
C’est faux, le logiciel est protégé en soi comme œuvre, pas seulement le code source. Il y a même un régime spécial du droit d’auteur pour le logiciel qui prend en compte tout cet aspect (voir les problèmes sur l’exception de décompilation, les discussions sur ce qui constitue une œuvre dérivée, etc.)
D’ailleurs, pour s’en rendre compte, il suffit de se demander : puis-je partager un logiciel Microsoft ? Pourtant, vous n’avez pas le code source, mais juste le code compilé ; si on vous suit, on pourrait partager légalement les logiciels Microsoft. Or, ce n’est pas le cas (pas seulement parce que c’est interdit dans le contrat, c’est aussi interdit par la loi).
***
C’est une question tout à fait différente, qui se pose, même quand on n’a pas accès au code source. Par exemple, l’arrêt SAS c. WPL de la CJUE qui tranche cette question, concerne bien un logiciel propriétaire, et non seulement la question du code source ;-) En réalité la question posée n’était pas « peut-on très bien faire un logiciel tout à fait identique » mais se rapprochait plutôt de « peut-on faire un logiciel aux fonctionnalités identiques ? ».