Le parfum comme oeuvre de l’esprit ? Pas pour 2014 !
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 5 heures
Vous avez tout à fait raison : le fric.... J’ai bien vu le prix du vapo 20 ml et des recharges.(…)
il y a 6 heures
Bonjour poivre rose, Je regrette que quelques esprits se fussent trouvés froissés par(…)
il y a 2 jours
Vapos... Grrr... Sur le fond, entièrement d’accord avec vous. C’était nettement plus responsable.(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Je vous rejoins à 200% et je ne trouve pas votre commentaire hors sujet, bien au contraire...
A l’école, on éduque bien évidemment la vue, on apprend les couleurs, les formes etc...
On éduque l’ouïe, quoiqu’un peu moins bien, à travers la musique, les langues...
Tout petit on apprend à reconnaître par le toucher les textures (ma fille a quantité de livres avec des trucs mous, durs, rugueux, doux...)
Restent le goût et l’odorat, qui sont liés. On va dire qu’à la cantine on apprend basiquement le goût.
Maintenant quid de l’odorat ? Combien d’heures dans les programmes scolaires ? Combien de mots dédiés dans notre langage ???
Et sans éducation, sans langage, comment parler, reconnaître, critiquer, comme on peut le faire d’autres oeuvre d’art ? Bien sûr qu’une formule est un élément fort, identifiable, différentiable. Mais ce n’est pas ça l’oeuvre.
Au-delà de faire reconnaitre le métier de parfumeur comme un vrai métier artistique, ce qui est une évidence aux yeux des quelques intéressés par le domaine, il faudrait éduquer en masse nos enfants au monde de l’odorat.
En attendant, je le fais avec la mienne. ;-)