Sahara Noir
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Farnesiano.
Merci à vous et avec plaisir.
Comme souvent, vous pouvez vous laisser guider par votre flair et lui faire confiance, il ne se trompe pas.
Tom Ford est lassant, exaspérant, fatigant, insupportable par bien des aspects (obsession du "noir" ressassé toujours et encore plus, tarifs prohibitifs, imagerie putassière...). Mais, il faut bien reconnaître que ses sorties sont assez réussies comme je le disais à Koimynose dans l’article consacré à la série de l’Atelier d’Orient.
A propos de Sahara Noir, il s’agit bien d’une "claque bien brûlante" effectivement. Votre évocation de cette attente cuisante et voluptueuse est, comme toujours, transportante et juste. On se croirait dans ce désert écrasé par le soleil et la chaleur, le soleil brûlant sous soi. Il y a quelque chose de mystique, de transcendental dans la manière dont vous l’évoquez.
Je sais que le personnage et ses prix vous insupportent et vous irritent. Mais, êtes-vous bien sûr que ce sera le seul parfum Tom Ford acheté que cette belle sortie de l’année ? ^^ Mon petit doigt me dit qu’à la vitesse où Tom Ford fait des propositions intéressantes, il est bien possible que d’autres choses vous plaisent encore à l’avenir... ;-) #TobaccoOud #suspense
Excellente soirée.
Opium